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lundi 9 mai 2016

LED : Le danger de la lumière Bleu sur les yeux de nos enfants .

C'est désormais un fait établi: certaines LED sont dangereuses pour nos yeux, et plus encore pour ceux de nos enfants. On la suspecte d'entraîner un vieillissement prématuré de la rétine dès lors que son usage est répété et son intensité trop forte. 

 En 2010, dans le cadre d'une expertise réalisée sous la houlette de l'ophtalmologiste Francine Behar-Cohen, l'Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail) soulignait les risques inhérents à l'emploi de ces lampes pourla rétine. Or, dès 2016, dans le cadre de la législation européenne visant à restreindre notre consommation d'énergie, les LED seront les seules lampes autorisées, avec les ampoules fluocompactes et certains halogènes. Et à l'horizon 2020 ces lampes déjà très répandues pour l'éclairage des lieux publics, des voitures, de nos maisons ou d'objets de notre quotidien (télé, smartphones, tablettes ) pourraient représenter 90 % du marché. De quoi susciter débats et inquiétudes 

Les Enfants Les Plus Exposés Au Risque .

Dans les faits, toutes les LED ne sont pas mises au ban: seules sont pointées du doigt dans le rapport de l'Anses celles qui produisent une lumière blanche et froide et les LED bleues, utilisées notamment pour la décoration. Dans ces lampes, la proportion de lumière bleue est nettement supérieure à ce qu'elle est en éclairage naturel, mais aussi dans l'éclairage traditionnel. Qui plus est, il est admis qu'en intérieur l'éclairage ne doit pas dépasser une certaine intensité lumineuse, pour éviter l'éblouissement. Et, précisément, les LED délivrent une lumière dont l'intensité peut être mille fois plus élevée. Or, à forte dose, ou suite à une exposition répétée, la lumière bleue peut se révéler nocive pour la rétine. 

D'après les auteurs du rapport, «les lésions touchent la rétine externe, c'est-à-dire les photorécepteurs, et les cellules de l'épithélium pigmentaire». Résultat d'une réaction photochimique tuant les cellules rétiniennes, ces lésions ont des effets d'autant plus graves qu'elles concernent la macula, région impliquée dans la vision centrale. Au pire, elles sont susceptibles d'entraîner un vieillissement prématuré de la rétine et de favoriser la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA). 

Les plus exposés au risque? Les enfants n'ayant pas atteint 10 ans. A cet âge, il n'y a encore ni cristallin jauni ni pigments maculaires pour filtrer en partie la lumière bleue et sauvegarder les yeux. Pour les protéger, l'Anses a donc émis un certain nombre de recommandations. Partant de la norme européenne de sécurité photobiologique (NF EN 62471), elle a proposé de l'adapter pour prendre en compte les populations les plus sensibles, corriger les valeurs limites d'exposition et revoir les protocoles de mesure. L'Anses préconisait par ailleurs l'introduction d'un contrôle de qualité des LED et l'obligation d'un étiquetage faisant mention du risque, tout en demandant que soient seulement commercialisées les LED à moindre intensité lumineuse. 

Ces recommandations ont été suivies en France. Mais par principe de précaution, mieux vaut limiter soi-même l'emploi de LED blanches quand c'est possible et éviter de les regarder directement. Bon à savoir: il existe aujourd'hui sur le marché des verres optiques capables de filtrer la lumière bleue .

LED : Le danger  de la lumière Bleu  sur les yeux de nos enfants .
 

lundi 2 mai 2016

Arrêt cardiaque : Conseils pour réussir a sauver des vies .

L'arrêt cardiaque n'est pas si brutal que cela. Il s'annonce un mois environ avant son arrivée avec des alertes et symptômes tels que la douleur de poitrine, des essoufflements, des étourdissements, des évanouissements ou des palpitations. Mais seuls 19% des patients appellent les secours. Chaque année, environ 50 000 Français décèdent prématurément d'un arrêt cardiaque . Soit environ un arrêt cardiaque toutes les 10 minutes. Et, seuls 5 à 7 % des victimes d'arrêt cardiaque survivent. Or, certains signes avant-coureurs surviennent souvent plusieurs semaines avant l'accident. Pris en considération, ils pourraient alerter les malades et augmenter leurs chances de survie, selon les résultats d' une étude publiée dans la revue médicale Annals of Internal Medicine .

* Arrêt du Coeur :  Personne n’est à l’abri . Quand le cerveau affolé entraine le cœur à sa perte.

 
Cela n’arrive pas qu’aux hommes, âgés de 60 ans, soumis aux risques comme le tabagisme, l’hypertension artérielle, le cholestérol, ou le surpoids. L’arrêt cardiaque atteint aussi les femmes, dès 65 ans. Dans 8 cas sur 10, les arrêts cardiaques les plus fréquents sont causés par l’obstruction progressive des artères coronaires (artères qui irriguent le cœur) ou à cause de la formation d’un caillot.

Les jeunes ne sont pas à l’abri d’un arrêt cardiaque. Il arrive que même des enfants, soient soudainement foudroyés, bien souvent lors d’un effort physique important. Dans cette situation, la cause est une malformation du muscle cardiaque, ou des troubles du rythme congénitaux. Ces cas peuvent être dépistés quand il y a déjà eu des « morts subites » dans la famille.

Les arrêts de coeurs  nécessitent des soins d’extrême urgence. Un arrêt du cœur est suivi d’un arrêt de l’oxygénation du cerveau. Ses causes sont diverses, à savoir un infarctus du myocarde dans le cas d’artères coronaires obstruées, un désamorçage de la pompe cardiaque dû à une blessure, une rupture d’anévrisme, une détresse respiratoire pouvant faire suite à une overdose, une pendaison ou une noyade, une obstruction - par un corps étranger - de la trachée-artère ou encore à un asthme sévère. L’arrêt cardiaque peut entraîner la mort si des soins d’urgence ne sont pas donnés au sujet.

* Connaitre les symptomes

La douleur dans la poitrine était le symptôme le plus fréquent. Les autres signes d'alerte étaient l'essoufflement d'effort et les pertes de connaissance. « Dans deux cas sur trois les douleurs de la poitrine étaient caricaturales d'un problème cardiaque, avec une douleur intense en étau. Mais elles avaient été intermittentes jusqu'à la survenue de l' arrêt cardiaque . En revanche, lorsque c'était une difficulté pour respirer, elle démarrait quelques jours avant et était le plus souvent continue jusqu'à l'arrêt cardiaque», précise le chercheur de l'Inserm et cardiologue.

* savoir réagir : Comment sensibiliser le grand public aux gestes de premiers secours face à un arrêt cardiaque ?


Rien ni magique , pas de sercrets pour cette intervention . Avant d'effectuer les gestes de survie, il est nécessaire de déterminer si la personne qui vient de tomber brutalement devant vous est en arrêt cardiaque.
Si le sujet est inconscient (il ne répond pas à vos questions, il ne réagit pas à des demandes simples comme « serrez la main ») et qu'il ne respire plus (son abdomen ne bouge plus, vous ne sentez pas son souffle), il est en arrêt cardiaque. Une fois la situation comprise, appelez le SAMU (15), localisez-vous, et ne raccrochez jamais sans l'autorisation de votre interlocuteur. Ce simple geste pourra sauver une vie.

L’absence de pouls témoigne de l’arrêt cardiaque qui implique l’appel, en urgence, des pompiers (18) ou du SAMU (15). Depuis n’importe quel pays d’Europe, il suffit de composer le 112. Composé depuis la France, le 112 permet une redirection vers le 18 ou le 15.
En attendant l’arrivée des secours, il est primordial de tenter de maintenir le patient en vie en effectuant un massage cardiaque et une ventilation soit par bouche-à-bouche, soit par intubation. Un professionnel de santé ou un urgentiste présent sur les lieux va dispenser des médicaments au patient par perfusion. Le redémarrage du cœur peut aussi être obtenu par défibrillation (chocs électriques).

* Traitement et prevention.

 
L’hospitalisation du patient est obligatoire et va permettre de rechercher le facteur déclenchant de l’arrêt du cœur.. Si celui-ci est dû à une overdose d’héroïne, un protocole de désintoxication est mis en place.
La meilleure façon de prévenir certaines formes d’arrêts cardiaques est de conserver une hygiène de vie sans faille, à savoir : ne pas fumer, avoir une alimentation variée, saine et non excessive, lutter contre l’obésité, avoir une activité physique quotidienne même modérée, ne pas consommer de produits stupéfiants.

* Observation des chercheurs .

 
Des scientifiques ont étudié l’activité du cœur et du cerveau de rats juste avant la mort de l’animal par asphyxie et ils ont constaté que le cerveau des animaux envoyait une rafale de signaux vers le cœur, engendrant des dommages irréversibles sur celui-ci et entrainant sa perte. Lorsque les chercheurs ont bloqué ces signaux, le cœur a survécu plus longtemps.

Selon l’étude, si un processus similaire se produit chez l’homme, alors il pourrait être possible de l’aider  à survivre à un arrêt cardiaque en coupant cette tempête de signaux en provenance du cerveau.
Ainsi, l’équipe de scientifiques de l’école de médecine de l’université du Michigan a trouvé quelque chose de surprenant. Il "suffirait" de rompre la communication chimique entre le cerveau et le cœur pour sauver ce dernier, ce qui est “contraire à la quasi-totalité de la pratique médicale d’urgence".
Chaque jour, environs 14 Français meurent d’un infarctus. De ceux/celles qui font la malheureuse expérience d’un arrêt cardiaque, même avec un traitement médical, seuls 10 % d’entre eux survivent et sorte de l’hôpital.

Les chercheurs ont abordé la question de savoir pourquoi le cœur d’une personne, précédemment en bonne santé, s’arrête soudainement de fonctionner, après seulement quelques minutes sans oxygène.
Il s’avère que, même si une personne en arrêt cardiaque perd conscience et ne montre aucun signe de vie, le cerveau continue à être actif. Dans une précédente étude, ces mêmes chercheurs ont constaté que quand le cœur est en train de mourir, il est inondé par des signaux du cerveau, probablement dans une tentative désespérée de le sauver. Selon les chercheurs, cet afflux brutal de signaux pourrait être responsable de l’expérience de mort imminente qu’éprouvent certaines personnes. 

Dans la nouvelle étude, les chercheurs ont induit un arrêt cardiaque chez des rats en leur faisant respirer du dioxyde de carbone ou en les soumettant à une injection létale. Les chercheurs ont ensuite étudié l’activité cérébrale des animaux par électroencéphalographie (EEG) et leur activité cardiaque par échocardiographie (ECG) dans les moments qui ont précédé la mort. L’équipe a également mesuré des produits chimiques de signalisation présents dans le cœur et le cerveau des rats pendant toute l’expérience.

Tout d’abord, la fréquence cardiaque des animaux a chuté brutalement. C’est alors que leur activité cérébrale s’est intimement synchronisée avec l’activité cardiaque. Les chercheurs ont utilisé une nouvelle technologie, qu’ils ont développée, pour mesurer la fréquence cardiaque, battement par battement.
Alors que le cœur et le cerveau sont en phase, les chercheurs ont observé un afflux de plus d’une douzaine de composés neurochimique, comme la dopamine, qui produit des sentiments de plaisir, et la noradrénaline, qui joue notamment un rôle dans la vigilance. Ce flot de produits chimiques pourrait expliquer pourquoi les personnes qui subissent des expériences de mort imminente la décrivent comme "plus réelle que réelle", selon les chercheurs.

Chez les rats, l’activité du cerveau et du cœur est restée synchronisée jusqu’à ce que ce dernier rentre dans un état appelé fibrillation ventriculaire, dans lequel les cavités inférieures du cœur palpite au lieu de se contracter correctement, empêchant le cœur de pomper le sang.
Mais quand les chercheurs ont bloqué l’afflux de ces produits chimiques du cerveau vers le cœur, en sectionnant la moelle épinière des rats avant de les tuer, cela a retardé la fibrillation ventriculaire. En conséquence, les animaux ont survécu trois fois plus longtemps que les rats dont la connexion cœur-cerveau avait été laissée intacte.

Il reste maintenant à savoir si le corps des humains se comporte de façon similaire.
Si les chercheurs peuvent trouver un moyen de “couper” la connexion entre le cerveau et le cœur en utilisant des médicaments, alors il pourrait être possible de les administrer à une personne victime d’un arrêt cardiaque. Ce serait donner aux soignants davantage de temps pour traiter ces patients.

*  L'Attaque de guêpes.

Un homme décède d'un arrêt cardiaque après une attaque de guêpes , Les piqûres de guêpes entraînent des réactions graves, et parfois fatales, chez les personnes allergiques.Ce type d'accidents n'est pas si rare"explique un porte-parole des pompiers du Jura. Le quadragénaire avait entrepris de détruire le nid après que sa compagne s'était fait piquer à deux reprises, précise le journal l'Est Républicain. "Quand il a voulu colmater le nid, les guêpes lui ont littéralement sauté dessus. Il est allé se vêtir davantage mais, quand il y est retourné, il s'est fait à nouveau beaucoup piquer et a fait un malaise",


                                                              



 Conseils pour réussir  a sauver des vies

jeudi 28 avril 2016

Comment devenir plus grand ? Conseils sur la croissance de L'enfant.

On parle de retard de croissance de Certains enfants sont considérés trop petits lorsque le poids ou la taille sont inférieurs aux normes de croissance établies pour leur âge et leur sexe. Attention, les bébés prématurés et ceux qui ont subi un retard de croissance dans le ventre de leur mère pourraient se situer sous les normes sans nécessairement présenter un retard de croissance. C’est la croissance depuis la naissance qu’il faut évaluer.La taille est déterminée à la fois par des facteurs génétiques et environnementaux. Bien que certains facteurs qui déterminent La taille ne soient pas de ressort, il y a certaines choses que vous pouvez faire pour développer votre potentiel et grandir plus.

Ne vous fiez pas seulement à la taille des autres enfants de sa classe ! L’important est que votre enfant grandisse de façon harmonieuse et régulière

Les causes au retard de croissance peuvent être nombreuses. En voici quelques-unes : 

•    Difficultés lors de l’allaitement. 


•    Préparations pour nourrissons trop diluées. 


•    Allergies, reflux gastro-oesophagiens, ou maladies qui empêchent de bien absorber les nutriments. 


•    Certains médicaments.


•    Stress et dépression de la maman; bébé peut le ressentir et réagir en mangeant moins. 


•    Parents anxieux par rapport à l’alimentation de leur enfant. Quand on force un enfant à manger, cela peut avoir l’effet inverse. Il pourra réagir dans certains cas en voulant encore moins manger.


Voici quelques conseils pour accroître les apports caloriques de votre tout-petit et pour l’aider à bien grandir:


•    Offrir 3 repas et 3 collations par jour. 


•    Offrir les repas et collations selon un horaire régulier. 


•    Servir les collations au moins 2 heures avant ou après les repas. 


•    Ne pas laisser votre enfant grignoter toute la journée. 


•    Manger avec votre tout-petit. 


•    Eviter les distractions pendant les repas (télévision, jeux électroniques, jouets, etc.). Conseil + : les infos diffusées au moment du dîner sont souvent « violentes » pour un enfant. Pour épargner sa sensibilité, éteignez  quand vous prenez vos repas en famille.


•    Limiter l’apport en jus de fruits à un maximum de 125 ml (½ tasse) par jour. 


•    Offrir les liquides 1 à 2 heures avant les repas.


•    Lors des repas, servir à boire une fois que le mets principal est entamé plutôt qu’au début du repas.


•    Présenter d’abord de petites portions à votre enfant, afin de ne pas le décourager. Augmenter au besoin. 


•    S’assurer que votre entre est assis confortablement à table pour manger. 


•    Inclure des aliments des 4 groupes alimentaires à chaque repas. La diversité d’aliments aide à manger plus. 


•    Ne pas forcer votre enfant à manger, ne pas le féliciter quand il mange.


•    Laisser votre enfant décider de la quantité d’aliments qu’il désire manger. Lui retirer son assiette environ 30 minutes après le début du repas, sans émettre de commentaires désapprobateurs.


•    Eviter d’évoquer ses refus ou ses caprices alimentaires lors des repas. Privilégier les conversations plaisantes, sans lien avec la nourriture. Les repas seront alors perçus comme des moments agréables. 


•    Choisir des aliments à haute teneur en calories. Chaque bouchée ou gorgée que votre tout-petit prend lui fournira ainsi le maximum de calories. Pour cela, choisir :


- des produits laitiers riches en matières grasses (yogourt à 8 % de matière grasse, fromage, crème sure, etc.);


- des viandes et substituts (oeufs, beurre d’arachide crémeux, etc.). 

•    Enrichir l’alimentation de votre enfant avec :

- de la poudre de lait écrémé;


- de la crème (10 %, 15 %, 35 % de matières grasses);


- des matières grasses (huile, margarine, beurre...);


- des céréales pour bébé enrichies;


- des suppléments nutritionnels de type Boost et Ensure pour enfants. 

Si votre enfant reçoit un diagnostic de retard de croissance, une nutritionniste vous offrira de l’aide pour :

•    découvrir les comportements et les habitudes alimentaires inappropriés de votre tout-petit; 


•    déterminer ses apports et ses besoins en calories; 


•    offrir un soutien nutritionnel adapté à ses besoins particuliers;


•    fournir des recommandations spécifiques sur la manière d’enrichir son alimentation. 



Plus de Conseils


•    Vous êtes plus grand le matin que dans l'après-midi d'environ 2 à 3 cm. Ceci est dû à une décompression de vos disques vertébraux, après être resté plusieurs heures en position horizontale (quand vous dormez par exemple). Après être resté debout pendant plusieurs heures, vous perdrez ce petit supplément de taille. Donc, lorsque vous prendrez la mesure de votre taille, il est recommandé de prendre en compte comme taille « officielle », la taille que vous avez au cours de la soirée. Essayez également de mesurer votre taille toujours au même moment de la journée.


•    Lorsque vous dormez, essayez de garder votre cou et votre dos bien droit. Essayez cependant de ne pas être trop rigide, vous risqueriez de vous réveiller avec des douleurs.


•    Restez hydraté. Buvez beaucoup d'eau et de lait pour favoriser une ossature solide. Même une légère déshydratation peut causer de nombreux problèmes tels qu'un manque d'énergie et de l'irritabilité.


•    Essayer de dormir au minimum huit heures par jour si vous le pouvez.


•    Ne marchez pas le dos voûté et évitez d'être avachi.

Comment devenir plus grand ? Conseils sur la croissance de L'enfant.


mardi 26 avril 2016

Obésité : Quelles sont les maladies associées sur la santé ?


   
Saviez-vous que chaque année, plus de 300 000 personnes décèdent en Europe à cause de l’obésité ? Saviez-vous aussi que l’obésité fait partie du classement des 10 maladies les plus mortelles dans le monde entier ? Tout ça pour dire que L’OBESITE n’est pas une simple maladie, mais une maladie qui fait ravage et qui continue à augmenter d’une façon très alarmante. Pour résumer, l’obésité est la maladie du 21ème siècle… 

Le surpoids et l’obésité entraînent de graves conséquences pour la santé. Les risques augmentent progressivement avec l’IMC. 

L’obésité figure parmi les plus graves problèmes de santé publique du XXIème siècle. Sa prévalence a triplé dans de nombreux pays et le nombre de personne touchée continue d’augmenter à un rythme préoccupant, en particulier les enfants. C’est un excès de poids dû à une surcharge en tissu adipeux dans l’ensemble de l’organisme, et plus particulièrement dans les espaces sous-cutanés. L’obésité peut entraîner une diminution de la qualité de vie et des complications morbides.


Véritable problème de santé publique, l’obésité est une maladie chronique, facteur de nombreuses maladies graves et raccourcit l’espérance de vie des personnes atteintes.
En médecine, l'obésité se définit comme un excès de masse grasse entraînant des inconvénients pour la santé.


Les chiffres 


Première du classement : la Corée avec un taux d'obésité de 3,8 %, comme la Suisse, l'Italie, la Hongrie et l'Angleterre, a su stabiliser sa courbe sur les dix dernières années. 


A l'autre extrémité, les Etats-Unis, suivis par le Mexique, avec un taux d'obésité dépassant le tiers de la population. 


La France, quant à elle, se place dans le haut du panier, en 7ème position.
Plus de 1,4 milliard d'adultes sont en surpoids et plus de 500 millions sont obèses. 


- Chaque année, 2,8 millions de personnes meurent des conséquences du surpoids ou de l'obésité. 


- Plus de 40 millions d'enfants de 5 ans sont en surpoids. Le risque de devenir obèse à l'âge adulte est important. 


- 65 % de la population mondiale vit dans un pays où le surpoids et l'obésité sont les plus meurtriers que l'insuffisance pondérale. 


- A l'échelle mondiale, 44 % du diabète, 23 ù des cardiopathies ischémiques et 7 à 41 % de certains cancers, peuvent être imputés au surpoids et à l'obésité. 


L’apparition de l’obésité dès l’enfance entraîne un risque de surmortalité chez l’adulte 50 à 80 %. Ce risque de surmortalité est surtout d’origine cardiovasculaire et touche essentiellement les garçons. Ces chiffres sont particulièrement inquiétant quand on sait que si l’obésité apparaît avant la puberté, le risque de persistance à l’âge adulte est de 20 à 50 % et de 70 % pour une survenue après la puberté. Une corrélation est aussi observée entre obésité et état de stress ou manque d’attention de l’enfant. La stigmatisation de l’obésité peut être également à l’origine de troubles graves. 


Types d’obésité


Il n’y a pas une mais des obésités. Chaque pathologie doit être traitée différemment selon l’âge, l’ancienneté de la maladie, les prédispositions génétiques ou encore la distribution de la masse de gras. L’Indice de Masse Corporelle (IMC) mesure la proportion entre le poids et la taille et constitue un barème pour déterminer la gravité de l’obésité. On distingue ainsi l’obésité modérée (Indice de Masse Corporelle compris entre 30 et 35 kg/m²), de l’obésité sévère (IMC compris entre 35 et 40 kg/m²) et de l’obésité morbide (IMC supérieur à 40 kg/m²).
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Les maladies associées


Le Diabète


Les données épidémiologiques en France en 2007 permettent d'estimer qu'environ 12 % des personnes obèses sont diabétiques de type II. Il y a à peu près auant de diabétiques de type II obèses en France que de diabétiques de type II en surpoids. Comme il y  a deux fois plus de personnes en surpoids que de personnes obèses, on peut estimer approximativement que la prévalence du diabète de type II chez l'obèse et 2 fois plus élevée que chez les personnes en surpoids. 


L'Hypertension artérielle
 
Il existe une intime relation entre l'obésité et l'hypertension artérielle car la prise de poids s'accompagne habituellement d'une élévation de la pression artérielle pouvant conduire à une hypertension artérielle ; a contrario, l'HTA est une complication présente chez près de 40 % des personnes obèses. 


L'HTA de la personne obèse est fréquemment associée à des anomalies biologiques :
- élévation de la glycémie,
- perturbations du bilan lipidique,
- hyperuricémie,
- anomalies hépatiques.
 
Les complications respiratoires
 
Cela correspond à des collapsus du pharynx, complets ou incomplets, répétés au cours du sommeil.
Il se définit par l'association de signes cliniques et d'anomalies respiratoires nocturnes en nombre > 5 par heure de sommeil. Cette pathologie, même dans sa forme modérée, est associée à une somnolescence, des troubles de l'attention et une altération de la qualité de vie.  
Le SAHOS sévère non traité est également associé à un risuqe accru de morbidité et de mortalité 


cardiovasculaire. 

Jusqu'à 60 % des personnes obèses présentent un SAHOS.
 
Le syndrome obésité-hypoventilation - SOH
Le SOH est défini par la co-existence d'une obésité et d'une hypercapnie diurne.
10 % des personnes obèses ont un SOH. 


L'asthme et l'obésité sont-ils liés ? 


Des études épidémiologiques ont montré l'existence d'une relation entre l'obésité et l'asthme. L'explication pourrait en être que l'obésité est une maladie inflammatoire susceptible de partager des facteurs de l'inflammation communs avec l'asthme. 


Les complications cardiovasculaires
 
Le retentissement cardiovasculaire de maladie d'obésité rend compte pour une large part de l'augmentation du risque de morbidité et de mortalité associé à cette pathologie.
L'obésité fait partie des facteurs de risque de mort subite. Dans l'étude de Framingham, le taux annuel de mort subite était 40 fois plus élevé chez les hommes et femmes obèses de la cohorte, comparé avec le taux d'arrêts cardiaques inexpliqués chez les personnes non-obèses.
 
les dyslipidémies


La dyslipidémie associée au surpoids est caractérisée par une diminution du HDL-cholestérol et par une augmentation des triglycérides. Elle est aussi caractérisée par une série de modifications qualitatives ou fonctionnelles. La diététique joue un rôle clef sur le niveau des triglycérides et, par conséquent, de l'HDL-


cholestérol. 

On sait qu'une réduction, même modeste du poids s'accompagne d'une diminution
Troubles de la vésicule biliaire
Les lithiases biliaires et les coliques hépatiques sont souvent reliées à l'obésité. Les régimes riches en matières grasses provoquent à la longue une saturation de la bile en cholestérol, une des principales composantes des calculs biliaires. Les femmes semblent plus vulnérables. On estime que le tiers des femmes obèses de plus de 60 ans présentent des troubles de la vésicule biliaire


Arthrite


Les personnes obèses présentent souvent un taux d'acide urique élevé dans le sang, sans qu'on puisse expliquer exactement pourquoi. Un excès d'acide urique provoque la goutte, une forme d'arthrite qui atteint les articulations, surtout celle du gros orteil. Les cas de goutte sont très nombreux chez les personnes obèses, dont le régime est souvent riche en matières grasses et en protéines, 2 facteurs qui peuvent influencer le taux d'acide urique. La pression exercée sur les articulations des hanches et des genoux peut aussi entraîner des douleurs arthritiques, que la perte de poids peut grandement soulager.

Enfin, l’obésité constitue un enjeu social. La relation entre précarité et obésité est particulièrement pertinente comme le rappelle Valérie Boyer dans son rapport parlementaire. « Marqueur d’inégalité sociale », l’obésité progresse plus rapidement au sein des couches défavorisées de la société. Les mêmes qui sont le plus éloignés du système de santé.

Obésité : Quelles sont les maladies associées sur la santé ?

jeudi 21 avril 2016

La position assise prolongée,double les risques d'apparition de cancer.

Rester trop souvent en position assis nuit sérieusement à votre santé, Le risque mortel au travail dont personne ne parle (encore) .On savait bien que rester avachi toute la journée devant son PC  n'était pas bon pour la forme, mais des études récentes montrent que la posture assise prolongée engendre de graves conséquences pour la santé.

Les  utilisateurs du facebook ( plus de 700 millions dans le monde ) c’est la communauté la plus ciblée .


En 2009, 75 % des actifs français travaillaient dans le secteur tertiaire, selon l'Insee. Sur ces 25,6 millions de personnes, il y a fort à parier que la grande majorité passe sa journée dans un bureau, devant un ordinateur… On se doute que rester assis toute la journée n'est pas très bon pour la santé, mais en quoi, exactement ?

A l'aide de quatre experts, le Washington Post vous explique tout dans une infographie méthodique, qui fait l'inventaire des effets néfastes pour le corps de la position assise ("sitting disease"), des plus évidents, comme le mal de dos, aux plus inquiétants, comme le cancer du colon.

Ainsi l'on apprend qu'être assis huit heures par jour – la moyenne pour un adulte américain, relève le quotidien – provoque des maux "de la tête aux pieds". Petit passage en revue des réjouissances : maladies du cœur et du pancréas, dégénérescence des muscles, problèmes de circulation, et même… ralentissement du cerveau, parce qu'assis "tout ralentit" !
En 2010, une étude de l'American Cancer Society tirait la sonnette d'alarme, affirmant que le taux de mortalité d'une personne assise plus de six heures par jour était 20 % plus élevé que celui d'une personne assise seulement trois heures par jour.

Mais pas de panique, le Washington Post vous explique comment atténuer tous ces désagréments en adoptant la bonne position et en faisant quelques exercices simples. Suivez le guide :

La  position assise prolongée: Quelques  exercices de soulagement

Et si jamais vous avez la mémoire ralentie – à cause de la position assise ou pas –, le quotidien a pensé à tout : il propose une version .PDF pour imprimer un poster pense-bête.
Bien sûr, si vous en avez la possibilité, le mieux est de passer moins de temps assis. Selon une étude publiée en 2012 dans le British Medical Journal, les personnes qui réduisent à trois heures la durée passée en position assise par jour gagnent en moyenne presque un an et demi d'espérance de vie.

jeudi 27 novembre 2014

La Timidité : Comment ça se soigne ?

La Timidité : comment ça se soigne ?






















Peur de prendre la parole en public , Rougissements, , émotivité ou encore incapacité à dire non... La timidité est considérée comme un défaut ,non comme une maladie .

Comment faire pour surmonter cette difficulté à aller vers l'autre ?

La timidité n'est pas une maladie C'est un trait de caractère, que l'on pourrait définir par une introversion. Les personnes timides ont besoin d'un temps de réflexion pour réagir et s'adapter à une situation. Le seuil de déclenchement du stress provoqué par ce qu'ils identifient comme un danger, réel ou émotionnel, est plus bas que la moyenne. A l'inverse, les "explorateurs", ou extravertis, ont tendance à foncer face à la nouveauté. Les uns comme les autres ont leurs forces et leurs faiblesses. Certes les timides prennent moins facilement des risques, mais leur faculté d'analyser les problèmes et de réfléchir avant d'agir .

On identifie quatre grandes catégories d'appréhensions sociales, : la peur de la performance ,la peur d'affirmation de soi et enfin la peur d'observation. "Les timides peuvent avoir toutes ces appréhensions, mais pas nécessairement. Certains n'en auront qu'une ou deux, n'auront pas de difficultés à parler d'eux mais seront tétanisés devant un micro, ou l'inverse". 

1-    Accepter sa timidité.

la première étape pour surmonter sa timidité et parvenir à trouver sa place, que ce soit dans un cadre amoureux, amical ou professionnel, consiste à accepter ce trait de caractère. Dès lors que l'on s'assume comme une personne naturellement introvertie, on n'a plus la même vision de ses expériences et l'on interrompt ce discours intérieur négatif: "je suis nul(l)e, je ne suis pas capable de prendre la parole, de me faire des amis, etc"". Autre erreur à ne pas commettre, vouloir à tout prix "s'imposer": "les personnes timides lorsqu'elles veulent s'affirmer, le font souvent avec excès et autoritarisme, en prenant trop de place, parce qu'elles ne parviennent pas à le faire avec mesure
Un écueil rencontré par un patient , timide depuis la petite enfance: "J'ai toujours eu du mal à animer une réunion, à endosser un rôle de leader, que ce soit avec mes amis ou au travail. Lorsque j'ai pris des responsabilités dans mon entreprise, j'avais tellement peur que l'on me trouve faible que j'ai endossé un costume qui n'était pas le mien, celui du chef tyrannique. J'ai assez rapidement compris que ça n'était pas forcément la meilleure des solutions, qu'en définitive, mes collègues m'appréciaient pour ma réserve, qu'il n'était pas nécessaire d'avoir une 'grande gueule' pour être écouté."

2-    l'estime de soi.

Il faut aussi travailler sur l'estime de soi,. Les timides ont selon lui souvent tendance à penser que l'on attend d'eux dans une conversation qu'ils soient brillants, qu'ils connaissent le sujet abordé sur le bout des doigts.
"Dans une relation, c'est la rencontre qui est intéressante, pas nécessairement le contenu des échanges". Il faut également accepter, , que "les relations ne marchent pas toujours, qu'il y a des affinités qui ne se créent jamais et que cela n'est pas grave". 

3-    Les  situations anxiogènes.

 s'efforcer de s'exposer aux situations anxiogènes, mais de manière progressive. "J'explique à mes patients que ce n'est pas parce qu'ils ont peur qu'il y a un réel danger". D'où la nécessité de se lancer des petits défis, au départ à deux si c'est plus facile: aborder quelqu'un en soirée, partager la table de collègues qui nous intimident, accepter une invitation ou en lancer une, etc.

vendredi 24 octobre 2014

Antennes-relais téléphonique: Quels sont les dangers ?

exist il un danger des antennes -relais ?






















Les antennes-relais GSM ou les BTS fleurissent un peu partout sur les toits des immeubles et des habitations individuelles dans tous le territoir . Selon les chiffres fournis par la cellule de communication ARPT, les trois opérateurs réunis ont installé, au 31 décembre 2005, 6189 BTS à travers le territoire national.

selon des informations fournies par des cadres de la filiale d'Algérie Telecom. La présence massive de ces antennes-relais ne manque pas d'inquiéter les riverains. Des citoyens  se sont ainsi plaints de maux de tête répétitifs et ce, depuis la mise en place de ces antenne-relais GSM (ou BTS) proche de leurs habitation . 

En dépit de l'article 5 de l'arrêté de wilaya n° 733 du 8 mai 2005 interdisant toute installation d'antenne-relais sur les établissements scolaires et malgré une note transmise, en 2001, aux directeurs de l'éducation de wilaya, les exhortant à s'opposer, par mesure de précaution, à l'installation d'équipements de transmission au-dessus des lycées et des CEM, cette loi n'a apparemment pas été respectée.

Les relais et notre santé :

Pourquoi n'y a-t-il pas une loi qui réglemente les BTS installées à proximité des établissements scolaires, des hôpitaux et des maisons des personnes âgées comme cela a été fait en France (à moins de 100 m) ou en Suède (à moins de 2000 m) ? N y a t-il pas, en Algérie, un organisme chargé de la sécurité sanitaire environnementale qui pourrait se charger du dossier santé et mobile à l'instar de l'AFSE en France ?. 

Les avis des experts scientifiques sont convergents : les niveaux de puissance des antennes de téléphonie mobile sont trop faibles pour présenter un risque sur la santé des personnes vivant dans leur voisinage. Dernière étude en date, celle des chercheurs de l'université de Leeds, en Grande-Bretagne, publiée depuis quelques jours. 

Cette étude, qui a concerné 966 Britanniques, dont l'âge varie entre 18 et 69 ans, se servant régulièrement d'un téléphone portable et ayant souffert entre 2000 et 2004 d'un gliome, une forme de tumeur cérébrale relativement fréquente chez l'homme, a conclu qu'il n'y a aucune relation entre l'utilisation du téléphone portable et l'apparition de tumeurs cérébrales. 

« Il n'y a aucun risque spécifique par rapport à la durée moyenne, la fréquence des appels passés, l'âge de l'usager et le nombre d'années d'usage », a conclu cette étude. « Faux ! », rétorquent d'autres scientifiques souvent proches des associations opposées aux stations relais. Ces antennes pourraient entraîner des lésions beaucoup plus graves : épilepsie, maladie d'Alzeimer, voire même des cancers.


Le danger sur nos immeubles :

En plus des migraines, les occupants font face à un autre problème : celui que représentent ces équipements électroniques quant à l'étanchéité de leur immeuble. Si les citernes d'eau ne sont pas tolérées sur les toits comme cela a été le cas pour des habitants des Anasser, à cause du poids sur l'étanchéité


Infos pratique pour se muscler le corps


Pas besoin d'aller dans une salle de musculation pour s'occuper de son corps. Simple exercices  régulières à la maison peut vous permettre de bien vous sentir mieux et d’avoir de belles muscles..
Pour éviter tout risque de fatigue et prévenir les courbatures, quelques précautions sont à prendre. 

Avant chaque séance, pensez à vous échauffer. De simples étirements, 5 à 10 secondes par muscle, suffisent. Après en avoir terminé avec vos exercices, refaites les mêmes étirements que précédemment, en les tenant un peu plus longtemps, 20 secondes. 
Pour les débutants, ou ceux qui manquent de pratique sportive, 2 à 3 séances par semaine suffisent. Si au bout de 3 semaines, vous ne ressentez ni courbatures, ni traumatismes, vous pouvez augmenter le nombre de séances.

Voici 10 parties du corps à faire travailler avec deux exercices pratiques  à chaque fois.

se muscler Bien le corps 

  







Muscles ciblés : pectoraux, épaules, triceps

Exercices pratiques : Classique du genre, tout le monde a déjà fait au moins une pompe. Au départ, les mains et les pieds sont posés au sol. Ecartez vos mains d'une distance d'environ deux fois la largeur des épaules. Le corps entier doit être droit et tendu, ce qui fait aussi travailler la ceinture abdominale. Il faut descendre en pliant les bras jusqu'à ce que la poitrine touche presque le sol, puis remonter en tendant les bras et en restant bien droit. Inspirez à la descente et soufflez en remontant.
Si l'exercice est trop difficile, posez vos genoux au sol. Cette astuce facilitera l'exercice et vous pourrez plus tard passer à la version normale.
Faire 4 séries de 10, en récupérant 1 minute entre chaque


















Pectoraux : les pompes inclinées

 Muscles ciblés : pectoraux, épaules, triceps

Exercice : Posez les pieds sur une chaise et les mains sur le sol en faisant toujours attention à rester le dos droit. Les mains, écartées de deux fois la largeur des épaules, doivent être bien à plat sur le sol pour une meilleure stabilité. Il faut descendre en inspirant jusqu'à ce que votre front touche par terre, et remonter en soufflant.
Pour rendre l'exercice plus difficile, vous pouvez rapprocher vos mains et ainsi solliciter plus les bras, surtout les triceps.
Faire 4 séries de 10, en récupérant 1 minute entre chaque.








Abdominaux : le gainage de face
   

        

 Muscle ciblé : ceinture abdominale 
Exercice : Allongez-vous en tenant sur les avant-bras et les pointes des pieds. Restez immobile en contractant vos abdominaux et en gardant le dos droit. Pour compliquer l'exercice, vous pouvez lever, séparément, une jambe en la gardant bien droite puis un bras. Ensuite, levez ensemble un bras et la jambe opposée.
Faites des séries de 1 minute chacune.
Abdominaux : le gainage de côté
   



     Le gainage de côté est idéal pour muscler votre ceinture abdominale. © L'Internaute Magazine      
 Muscle ciblé : ceinture abdominale
Exercice : Allongez-vous sur le côté, en vous appuyant sur l'avant-bras et le pied, votre autre bras le long du corps. Tenez cette position en restant le plus droit possible, en contractant les abdominaux. Vous pouvez aussi lever une jambe, puis une fois qu'elle est reposée faire osciller votre bassin de haut en bas.
Faites des séries de 1 minute chacune en changeant de côté à chaque fois.
Epaules : les pompes rotatives
   

          
 Muscles ciblés : épaules 
Exercice : Vous êtes en appui sur les mains, le corps tendu, la pointe des pieds touchant le sol, en position de pompes. Vous ne descendez pas tout droit, mais vous effectuez une rotation du corps de façon à ce que son poids ne soit supporté que par une seule épaule. Vous soufflez en remontant et faites la même chose de l'autre côté.
Faites 4 séries de 10, avec 1 minute de repos entre chaque.
Epaules : l'élévation
   



         
 Muscles ciblés : épaules
Exercice : Mettez-vous en appui sur une seule main sur un meuble, ou quelque chose d'une hauteur d'environ 1 m, dos droit, jambes tendues et écartées. Fléchissez le bras en inspirant et descendez le plus bas possible. Forcez bien avec l'épaule et le bras. Votre dos doit rester droit, et votre épaule doit arriver à hauteur de la main. Ne vous tordez pas, ne vous penchez pas du côté du bras qui travaille pour faciliter l'effort. Plus vous progressez, plus vous pourrez baisser la hauteur de votre appui, jusqu'à le faire à même le sol.
Faites 4 séries de 10, avec 1 minute de repos entre chaque.

Biceps et avant-bras : les flexions alternées
   


          
 Muscles ciblés : biceps, avant-bras 
Exercice pratique  : Assis sur une chaise, le dos bien droit, tenez un haltère dans une main, bras tendu vers le bas, le poing vers le ciel. Montez l'avant bras en pivotant le poignet, de manière à voir les haltères de côté. N'oubliez pas d'expirer en baissant le bras.
Répétez ce mouvement une douzaine de fois pour chaque bras.
Biceps et avant-bras : les flexions, le coude appuyé
   



          
 Muscles ciblés : biceps, avant-bras
Exercice : Assis, toujours avec le dos bien droit et les jambes écartées, posez le bras portant l'haltère contre la cuisse, tendu vers le bas, le poignet vers le haut. Remontez le bras, jusqu'à ce que le biceps soit contracté puis redescendez en expirant.
Alternez bien ce mouvement pour chaque bras une douzaine de fois.
Triceps : le mur
   


        
 Muscles ciblés : triceps
Exercice : Placez-vous face à un mur, jambes légèrement écartées, et placez vos mains à une hauteur de 1m50. Sur la pointe des pieds, faites une flexion jusqu'à ce que votre tête et vos bras touchent le mur. Puis, doucement, en gardant le dos droit, revenez à votre point de départ.
Pour durcir l'exercice, posez vos mains plus bas, et rapprochez progressivement vos jambes. A la longue, vous pouvez aussi vous mettre sur une chaise pour prendre plus de hauteur.
Faire trois séries de 25, avec 1 minute de récupération entre chaque. 
Triceps : les pompes obliques
   


          
 Muscles ciblés : triceps
Exercice : Posez vos coudes au sol, les bras légèrement écartés, et les paumes posées à terre. Sans bouger vos mains, tendez les bras en inspirant et redescendez en soufflant. Evitez de trop écarter vos coudes dans l'effort, sinon vous n'allez pas faire travailler vos triceps.
Si l'exercice s'avère difficile au début, vous pouvez surélever vos avant-bras avec un support d'une quarantaine de centimètres de hauteur.
Faire 2 séries de 10, avec 30 secondes de repos entre chaque.

Fessiers : la jambe étirée
   

         


       
 Muscles ciblés : fessiers
Exercice : Posez les genoux au sol, les mains à terre en gardant le dos droit puis décollez une jambe et tirez-la vers l'arrière en contractant les fessiers. Il est important de garder le dos à plat et les mains bien ancrées sur le sol. Pour rajouter de la difficulté, mettez-vous au départ jambes tendues sur la pointe des pieds.
Il faut tenir la position 1 minute et changer de jambe.
Fessiers : jambe étirée de côté
   



         
 Muscles ciblés : fessiers
Exercice : Il faut vous allonger sur le côté, jambes tendues, en maintenant votre tête avec votre main pour plus de confort. Levez la jambe en inspirant et descendez là en soufflant. Pour plus de difficultés, soulevez votre jambe alternativement vers l'avant puis vers l'arrière. Pour éviter toutes douleurs, pensez toujours à garder le dos droit. 
Répétez cet exercice pendant 1 minute.
Cuisses : la chaise
   

        
 Muscles ciblés : cuisses, fessiers
Exercice : Adossé contre un mur, gardez vos cuisses parallèles au sol et vos mains sur le côté, contre le mur. Le but est de tenir une minute. Une variante consiste à tendre une jambe alternativement et de tenir 10 secondes à chaque fois. Il est important de toujours garder le corps et surtout le dos bien droit.
Vous pouvez ensuite augmenter le temps, petit à petit, jusqu'à 3 minutes
Cuisses : les squats
   




         
 Muscles ciblés : cuisses, fessiers
Exercice : Debout, bras tendus, descendez les fesses vers le bas et l'arrière en inspirant. Les genoux doivent être alignés avec les orteils, les jambes écartées et les pieds légèrement tournés vers l'extérieur. Contractez les abdos, restez le dos droit et poussez les talons vers le sol en expirant pour contracter les fessiers.
Faire cet exercice pendant 1 minute, puis augmenter le temps progressivement.
Mollets : flexion-extension
   





         
 Muscles ciblés : jumeaux (mollets)
Exercice : Debout sur la pointe des pieds, vous vous appuyez d'une main contre un mur ou un meuble pour ne pas tomber. Remontez votre talon le plus haut possible en gardant le pied au sol. Faites ça sans vous précipiter, pour bien sentir l'étirement et la contraction complète.Vous pouvez aussi le faire sur une cale ou une marche par exemple, et ainsi en profiter pour descendre le talon.
Faites des séries de 1 minute 30 pour chaque mollet.
Mollets : le step amélioré
   


          
 Muscles ciblés : jumeaux (mollets)
Exercice : Posez une jambe sur une chaise, et remontez le plus haut possible en gardant le genou bien tendu quand vous serez debout sur la chaise.
Alternez les deux jambes en faisant 3 séries de 30 (15 par jambe) avec    30 secondes de récupération entre chaque.
Dos : les extensions lombaires
   


        
 Muscles ciblés : dorsaux, lombaires
Exercice : Allongé sur le ventre, mettez vos mains sous le front en ayant les jambes tendues. Levez, dans le même mouvement, le haut du corps et les jambes de 10 à 15 cm du sol en inspirant.
Bloquez cette position pendant 10 secondes, puis redescendez en soufflant. Faire 4 séries de 10, avec 30 secondes de pause entre chaque.
Dos : renforcer le bas
   



         
 Muscles ciblés : grand dorsal, obliques
Exercice : Debout, les jambes légèrement pliées, penchez-vous en avant jusqu'à ce que votre buste soit parallèle au sol. N'arrondissez pas le dos, adoptez un rythme lent, et quand vous remontez, arrêtez-vous lorsque votre dos est vertical. Ne vous cambrez pas. Prenez 10 secondes pour descendre, bloquez 10 secondes en position horizontale et remontez. Petit à petit, restez de plus en plus longtemps en position arrêtée.
Faites 2 séries de 20, avec 30 secondes de récupération entre chaque.
Cou : renforcement des cervicales
   


          
 Muscles ciblés : sterno-cleïdo-mastoïdiens (cou et nuque)
Exercice : Allongez-vous en travers sur une chaise ou un banc, les pieds au sol. Descendez la tête le plus bas possible en arrière, sans trop forcer pour ne pas abîmer vos cervicales et remontez-la en posant le menton sur votre poitrine. Evitez le rythme rapide, et ne cherchez pas à forcer.
Faites deux séries de 1minute 30 avec 40 secondes de repos entre elles.
Cou : préparer ses cervicales
   




        
 Muscles ciblés : sterno-cleïdo-mastoïdiens (cou et nuque)
Exercice : Allongez-vous sur le côté, un coussin sous les côtes, le bras légèrement vers l'avant. Si vous êtes allongé sur la gauche, tournez la tête vers la droite. Il faut y aller vraiment en douceur, sans jamais forcer. Commencez par ne pas aller trop loin et augmentez petit à petit. Evitez d'en faire trop pour ne pas fatiguer vos cervicales.
Faire une série de 10 pour chaque côté.